Issue link: https://ressources.genetec.com/i/1464534
7 En quoi la RAPI surpasse-t-elle la vidéosurveillance dans les investigations véhicules ? En utilisant des solutions vidéo standard, les agents de police peuvent recueillir de nombreuses informations. Mais il peut être très frustrant et fastidieux de faire des recherches dans le volume considérable d'images provenant des caméras de toute une ville. Lorsque leur concentration diminue, même les meilleurs enquêteurs peuvent manquer des détails importants. Et bien que les témoins puissent fournir des informations essentielles qui permettent d'affiner les recherches, ils ne sont pas toujours en mesure de retenir les détails. En effet, selon notre rapport, les forces de l'ordre ont indiqué que les témoins sont les plus susceptibles de se souvenir de la couleur et du type du véhicule ; en revanche, il est moins probable qu'ils se rappellent des informations relatives à la plaque d'immatriculation, qu'elles soient partielles ou complètes. Ainsi, non seulement les agents doivent récupérer et filtrer les enregistrements vidéo de diverses caméras, mais ils doivent également chercher une aiguille dans une botte de foin. Un système RAPI permet aux agents de saisir différentes caractéristiques telles que le type de véhicule, la couleur, la marque, le modèle et même des numéros de plaque partiels de façon à affiner la recherche dans l'historique des lectures de plaques d'immatriculation. Ils peuvent ensuite parcourir des données les plus pertinentes dans le but de trouver les preuves dont ils ont besoin. « Nous procédons de façon un peu différente par rapport à d'autres villes. Nous avons adopté l'approche inverse, en utilisant le système RAPI comme technologie de base et la vidéosurveillance comme outil secondaire pour suivre et approfondir les enquêtes. Le système RAPI nous fournit des informations exploitables. Sur cette base, nous utilisons la vidéosurveillance pour appuyer nos efforts et l'impact a été énorme dans les zones où nous avons déployé ces solutions. » – Lieutenant Brent Feig, Service de police de Saint-Louis